Forêt Lacandone

Jean-Pierre jullian quartet

Guillaume Orti Saxophones alto et bary­ton
Étienne Lecomte Flûtes
Tom Gareil Vibraphone et marimba
Claude Tchamitchian Contrebasse
Jean Pierre Jullian Batterie/compositions

Composition de Jean-Pierre Jullian (édi­tions Mazeto Square 2022)

C’est le troi­sième volet d’un trip­tyque consa­cré au Chiapas, et à la résis­tance zapa­tiste incar­née par le sous-com­man­dant Marcos. La musique sur­git, les éner­gies se libèrent. Le flû­tiste Étienne Lecomte, que j’avais décou­vert dans ce même groupe, sur scène en sep­tembre 2021, au fes­ti­val ‘Émouvances’ de Marseille, m’impressionne par la viva­cité, l’expressivité et la liberté de son jeu. Ses par­te­naires, qui me sont plus fami­liers, donnent la pleine mesure de leur créa­ti­vité dans cette musique exi­geante, com­plexe, et pour­tant inten­sé­ment vivante, qui s’offre à nous comme une évi­dence. Le mys­tère par­court l’ensemble de l’œuvre, entre les incises en solo ou dia­logue, et les for­mi­dables embal­le­ments ryth­miques qui ravivent en moi la nos­tal­gie de la grande époque de Stravinski, celle du Sacre. Cette musique éla­bo­rée, et for­mel­le­ment maî­tri­sée, res­pire pour­tant la liberté des espaces indé­chif­frables, ceux d’une forêt dont seuls les occu­pants légi­times pénètrent les arcanes.
Musique fas­ci­nante, d’une for­mi­dable richesse, ser­vie par des inter­prètes-impro­vi­sa­teurs de très haut vol.
Xavier Prévost

Écoutez des extraits en cli­quant ICI

Commander le disque ICI

C’est le troi­sième volet d’un trip­tyque consa­cré au Chiapas, et à la résis­tance zapa­tiste incar­née par le sous-com­man­dant Marcos. La musique sur­git, les éner­gies se libèrent. Le flû­tiste Étienne Lecomte, que j’avais décou­vert dans ce même groupe, sur scène en sep­tembre 2021, au fes­ti­val ‘Émouvances’ de Marseille, m’impressionne par la viva­cité, l’expressivité et la liberté de son jeu. Ses par­te­naires, qui me sont plus fami­liers, donnent la pleine mesure de leur créa­ti­vité dans cette musique exi­geante, com­plexe, et pour­tant inten­sé­ment vivante, qui s’offre à nous comme une évi­dence. Le mys­tère par­court l’ensemble de l’œuvre, entre les incises en solo ou dia­logue, et les for­mi­dables embal­le­ments ryth­miques qui ravivent en moi la nos­tal­gie de la grande époque de Stravinski, celle du Sacre. Cette musique éla­bo­rée, et for­mel­le­ment maî­tri­sée, res­pire pour­tant la liberté des espaces indé­chif­frables, ceux d’une forêt dont seuls les occu­pants légi­times pénètrent les arcanes.Musique fas­ci­nante, d’une for­mi­dable richesse, ser­vie par des inter­prètes-impro­vi­sa­teurs de très haut vol.Xavier Prévost